Le Projet Gold For Climate
Le projet « contribution de l’exploitation minière à la résilience des agropasteurs, au changement climatique et à la cohésion sociale » a été mis en œuvre au Burkina Faso, de septembre 2020 à janvier 2023, par un consortium inédit réunissant le Réseau Billital Maroobe (#RBM), #CARE_Burkina, la Chambre des Mines du Burkina (#CMB) et le Conseil des Unions du Sahel (#CRUS) à travers un financement de l’Union Européenne.
Les activités du projet ont été menées dans les zones d’impact de 4 sociétés minières dans la région du Sahel, Nord, le plateau Central et ont touché 3000 ménages ruraux, soit 21000 agropasteurs.
À bientôt pour plus de détails
Le RBM et son partenaire l'OIM discutent de l'amélioration de leur collaboration dans l'utilisation de l'outil de suivi de la transhumance. Réunis du 16 au 18 juin à Dakar, ils échangent sur les forces et faiblesses de leur partenariat sur le comptage et la cartographie des flux d'animaux transhumants, les alertes sur les conflits liés à la transhumance transfrontalière et sur les concertations et mise en œuvre des réponses aux alertes. Ils pourront ainsi proposer des améliorations de leur collaboration, harmoniser les méthodologies et rendre l'outil plus opération
La 3ème Edition du Salon de Convergence Inter-Générationnel pour l'Avenir du Pastoralisme (CIGAP) des 19 au 23 mars 2023 à Siloé près de Niamey a rassemblé des jeunes ambassadeurs du pastoralisme provenant de 11 pays d'Afrique de l’Ouest et du Centre. Il a offert une plateforme pour discuter des enjeux actuels liés au pastoralisme, tout en mettant en avant le rôle des femmes dans cette pratique.
Au cours de cet événement international, le RBM a donné la parole aux femmes pour qu'elles puissent exprimer leur position sur leur rôle et leur place dans le pastoralisme. Hawa Assawadana, Chargée Genre et Inclusion Sociale du RBM, a ainsi expliqué que « quand on parle du pastoralisme, on ne voit que le berger derrière les animaux, alors qu’il y a la femme aussi ». Elle a également souligné que lorsqu'il s'agit de la transhumance, « les hommes conduisent les animaux mais les animaux faibles ou les animaux à traire sont gardés par les femmes, et c'est elles qui les nourrissent et les entretiennent ». Cette reconnaissance du rôle essentiel des femmes dans la pratique du pastoralisme est une étape importante vers l'inclusion de ces dernières dans les décisions concernant cette activité.
Le RBM et ses organisations membres ont pu mener à bien ce salon grâce à l'accompagnement technique et financier de leurs partenaires, parmi lesquels l'USAID, l’ASDI, la DDC, le FIDA, l’AFD, DANIDA, l'IOM, SNV, G5 Sahel, DRC, PeaceNexus l’ARED. Grâce à ces partenariats, le RBM a pu renforcer les capacités des jeunes et des femmes en les rendant compétents et capables de s'engager dans le domaine pastoral et de proposer des solutions innovantes.
La mission de RBM et de ses partenaires est de soutenir les jeunes et les femmes dans le pastoralisme, en veillant à ce qu'ils soient reconnus pour leur rôle essentiel dans cette pratique. Ensemble, ils ont travaillé pour renforcer les capacités et les compétences de ces populations afin qu'elles puissent contribuer efficacement à l'avenir du pastoralisme en Afrique et dans le monde.
Vous pouvez suivre l'entretien à travers ce lien ci-dessous :
Le 10 mai, le Cluster Élevage a discuté de l’élaboration de son plan d'actions. En nourrissant sa réflexion des travaux de la veille, les membres ont défini les principaux axes, notamment concernant le fonctionnement du cluster et le développement d'une plateforme digitale pour l'élevage. Cette plateforme permettra de mettre en relation les différents acteurs du secteur, de partager les bonnes pratiques et les innovations technologiques.
Un comité, organisé autour du Ministère de l'Elevage, est chargé de finaliser le plan d'actions et de proposer un modèle de plateforme digitale.
Le Cluster a également abordé l'organisation du PastoralHackaton 2023. Cette compétition vise à promouvoir l'innovation dans le secteur pastoral en réunissant des développeurs, des designers, des agriculteurs et des éleveurs. Un formulaire sera distribué aux membres du Cluster afin de recueillir des propositions d'amélioration de la prochaine édition.
Le 10 mai, le Cluster Élevage a discuté de l’élaboration de son plan d'actions. En nourrissant sa réflexion des travaux de la veille, les membres ont défini les principaux axes, notamment concernant le fonctionnement du cluster et le développement d'une plateforme digitale pour l'élevage. Cette plateforme permettra de mettre en relation les différents acteurs du secteur, de partager les bonnes pratiques et les innovations technologiques.
Un comité, organisé autour du Ministère de l'Elevage, est chargé de finaliser le plan d'actions et de proposer un modèle de plateforme digitale.
Le Cluster a également abordé l'organisation du PastoralHackaton 2023. Cette compétition vise à promouvoir l'innovation dans le secteur pastoral en réunissant des développeurs, des designers, des agriculteurs et des éleveurs. Un formulaire sera distribué aux membres du Cluster afin de recueillir des propositions d'amélioration de la prochaine édition.
Le Cluster Élevage sur la digitalisation récemment mis en place a réuni du 9 au 10 mai 2023 une quarantaine de participants à Sadoré non loin de Niamey. L'atelier financé par la Coopération Suisse doit élaborer son plan d'action et préparer l'Edition 2023 du PastoralHackaton.
Les représentants du Gouvernement, des PTF du sous-secteur de l'élevage, des organisations d'éleveurs, des structures d'appui-conseil aux producteurs ruraux et des entreprises laitières ont commencé les travaux par un rappel de la genèse et des objectifs du cluster avant de s'engager dans une réflexion sur les thèmes qui seront prisent compte dans les plans d'actions. Ils ont ensuite partagé différentes expériences de solutions digitales appliquées à l'élevage. Trois groupes de travail se sont ensuite penchés sur : le choix des informations, leurs usages, pour quels usagers, pour qu'elles décisions ; les systèmes d'information existant ; les moyens humains et financiers pour la collecte, le traitement et la diffusion des informations.
Du 4 au 5 mai, il se tient à Ouagadougou un atelier important visant à contribuer à la promotion de la paix, de la cohésion sociale, du savoir-vivre ensemble et de la citoyenneté responsable à travers l'établissement d'un dialogue inclusif et fécond entre les populations et l'administration.
Cet atelier a été l'occasion de présenter le Groupement Local de Concertation Transfrontalière (GLCT) ainsi que les objectifs et les activités clés de cette initiative. Le GLCT joue un rôle essentiel dans la recherche de solutions durables pour les défis auxquels sont confrontées les régions du Sahel et de Tillabéri.
Au cours de l'événement, une synthèse des acquis du projet a été présentée, mettant en évidence les progrès réalisés jusqu'à présent. Les leçons et les enseignements tirés ont été discutés afin de garantir la pérennisation des résultats obtenus et de renforcer l'impact de l'initiative.
Un aspect crucial de l'atelier a été consacré à l'échange sur la place et le rôle du GLCT/ST dans la pérennisation des acquis. Les participants ont partagé leurs perspectives sur les moyens de renforcer l'implication du GLCT/ST et d'en faire un acteur clé pour la durabilité des résultats et la promotion de la paix et de la cohésion sociale.
L'atelier a été une occasion précieuse de réunir des acteurs clés, des représentants de la société civile, des autorités locales et des membres de la communauté afin de travailler ensemble pour promouvoir la paix, la cohésion sociale et la citoyenneté responsable dans les régions du Sahel et de Tillabéri.
En travaillant de concert, nous pouvons surmonter les défis auxquels nous sommes confrontés et créer un avenir meilleur pour tous. Cet atelier marque une étape importante dans notre engagement en faveur d'une société plus pacifique, inclusive et résiliente.
Le projet RECOLG est mis en œuvre dans la zone du Liptako-Gourma par plusieurs partenaires, à savoir RBM, CRUS, Tassaght, DRC, CARE et Karkara. Ce projet bénéficie du soutien financier de l'Union européenne.
Lancée le mercredi 12 Avril 2023 dans la commune de Téra, la campagne de vaccination des animaux en réponse aux plans de contingence des communes d’intervention du programme RECOLG se poursuit. La vaccination des animaux dans la commune de Ayorou a débuté le 17 avril 2023.
Elle est conduite avec le soutien des agents communaux du ministère de l’élevage sous la supervision de la Direction Départementale de l’élevage.
L’initiative a un objectif multiple. En plus de renforcer la résilience des communautés hôtes et PDIs à travers la sécurisation de leurs moyens d’existence grâce à la vaccination, le déparasitage et les soins des animaux malades, elle permettra sans doute de renforcer la cohésion sociale entre les communautés d’une part et d’autre part entre ces communautés et les services techniques déconcentrés (STD).
Le RBM et son membre AREN ainsi que les autres membres du consortium RECOLG au Niger (CARE, DRC, KARKARA et Save The Children) prévoient à travers cette opération de soutien aux éleveurs, aux agriculteurs et aux agro-éleveurs, la vaccination et le déparasitage de 5 050 petits ruminants, 2 500 gros ruminants et le traitement clinique de 7 00 têtes d’animaux
diapoMaroobe
Le Réseau Billital Maroobè est un cadre régional de référence des éleveurs et pasteurs qui œuvre pour la défense des intérêts de ses membres au plan économique, politique, social et culturel
Le Réseau Billital Maroobè est convaincu que le pastoralisme, fondé sur la mobilité spatiale et saisonnière, représente une forme essentielle de production par son apport économique, social, culturel et écologique aux zones arides et semi-arides où d’autres formes de production sont très aléatoires, voire impossible.